AVERTISSEMENT : L’information diffusée via le réseau EWS est en premier lieu destinée à tous les professionnels du secteur sociosanitaire qui entrent en contact avec des usagers de drogues. Cette information est destinée à être diffusée auprès de leur public d’usagers de drogues mais n’est pas destinée à une diffusion dans les média.
Dans le cadre du système d’Alerte Précoce (Early Warning System – EWS), l’Institut Scientifique de Santé Publique (ISSP) nous a communiqué les informations suivantes :
Suite à une saisie policière réalisée dans la région d’Anvers et datant de ce mois de janvier 2013, l’ Institut National de Criminalistique et de Criminologie (INCC) a analysé des tablettes d’ecstasy hautement dosées.
L’Institut Scientifique de Santé Publique (ISSP) nous a informés ce 6 décembre 2012 des faits suivants : le laboratoire Chemiphar SA a informé l’ISSP le 30 novembre 2012 d’un décès lié à l’usage de la 4-méthylamphetamine à Alost.
Dans le cadre du système d’Alerte Précoce (Early Warning System – EWS), l’Institut Scientifique de Santé Publique (ISSP) nous a communiqué les informations suivantes :
Une saisie de pilules d’ecstasy a été analysée par le laboratoire de Toxicologie de l’Université d’ Anvers.
Ces tablettes ont été saisies en Septembre dans la région d’Anvers.
Dans le cadre du système d’Alerte Précoce (Early Warning System – EWS), l’Institut Scientifique de Santé Publique (ISSP) nous a communiqué les informations suivantes :
Suite à une saisie policière réalisée dans la région d’Anvers et datant de la première moitié du mois d’août, l’ Institut National de Criminalistique et de Criminologie (INCC) a analysé des tablettes d’ecstasy hautement dosées.
L’Institut Scientifique de Santé Publique nous a informés ce 19 avril 2012 que deux décès de consommateurs sont à déplorer suite à la consommation de produits contenant de la 4-methylamphetamine. Ces décès sont survenus dans les deux premières semaines du mois de mars.
Le premier décès a eu lieu à Anvers. Une poudre jaunâtre a été trouvée dans les poches de la victime. Elle contenait de l’amphétamine et de la 4-methylamphetamine. Dans les 24h qui ont précédé le décès, la victime avait également consommé de la kétamine et de la cocaïne. Cette personne est décédée suite à une hyperthermie extrême et un arrêt cardiaque.
Un deuxième décès est survenu dans la region d’Alost. Dans ce cas, les fluides corporels du patient ont également révélé de l’amphétamine et de la 4-methylamphetamine. Par ailleurs, une poudre a également été découverte sur lui, révélant à […]
L’Institut Scientifique de Santé Publique nous a informés de l’analyse de plusieurs comprimés et poudres vendues comme de l’”ecstasy”, contenant du pentobarbital (pour les 4 échantillons détaillés ci-dessous) en plus de la MDMA (présente dans trois de ceux-ci). Ces comprimés ont été vendus dans la région de Bruxelles (et analysés le 13 mars 2012). Les échantillons avaient été remis à l’asbl Modus Vivendi par différents usagers, qui ont expliqué s’être sentis malades après avoir consommé plusieurs comprimés.
Six cas récents de consommations problématiques ont été rapportées au système belge d’Alerte Précoce (Belgian Early Warning System on Drugs – BEWS).
Au total, on dénombre 3 intoxications et 3 décès. Les analyses d’échantillons biologiques et des produits incriminés ont révélé que tous ces usagers avaient consommé de la 4-Méthylamphétamine.
Dans plusieurs cas, elle avait été consommée au sein d’une poudre. Les analyses ont également montré que dans les 6 cas, au moins un autre produit avait été consommé (peut-être mélangé à la même poudre). Il est possible que cette poudre soit vendue comme du « speed ». Dans un cas au moins, elle fut vendue comme de la Kétamine (« Spécial K »).
Dans le cadre du système d’Alerte Précoce (Early Warning System – EWS), l’Institut Scientifique de Santé Publique (ISSP) nous a communiqué les informations suivantes : fin novembre 2010, différents types de comprimés d’Ectasy ont été saisis dans la région d’Hasselt. Des analyses réalisées le 26 janvier 2011 (labo INCC), il ressort que tous ces comprimés sont fortement dosés en MDMA et que leur consommation entraîne donc des risques accrus pour les utilisateurs. Il n’est pas certain que les quantités saisies étaient destinées uniquement à un usage personnel, ce qui rend possible leur circulation en Belgique.
Le 17 janvier 2011, une poudre jaune moutarde vendue comme du speed et contenant des amphétamines et de la cathinone a été signalée en Belgique.
Deux complications graves (un décès et un coma) ont eu lieu à Ostende durant le début du mois suite à la prise de cette poudre.
Ce mélange est extrêmement dangereux et peut être mortel.
Nous n’avons actuellement pas plus d’information sur les dosages des substances présentes dans le speed.
Récemment, des comprimés de MDMA hautement dosée ont de nouveau été découverts et analysés, dans la province d’Anvers.
