Les peines alternatives à la prison

Les prisons sont remplies pour moitié de personnes condamnées pour des faits liés aux drogues. Or ce type de punition est loin de remplir ses objectifs en termes de récidive et de dissuasion. Au contraire, l’incarcération a des effets délétères sur la santé des personnes détenues et participe à la précarisation et marginalisation de populations déjà socialement défavorisées et des personnes racisées. Des alternatives existent afin de rendre le système judiciaire et coercitif plus humain et respectueux des droits de chacun·e, voire de changer de paradigme, et d’ainsi améliorer la santé publique et tendre vers une société plus juste et équitable.

Bonnes pratiques de prévention et réduction des risques liés à l’alcool

L’équipe d’Eurotox a le plaisir de présenter son sixième livret thématique, consacré aux bonnes pratiques en matière de prévention et réduction des risques liés à l’alcool.

Ce livret a pour objectif d’aborder de manière synthétique et didactique les bonnes pratiques en ces matières, l’identification et le partage de bonnes pratiques étant une stratégie importante pour soutenir le travail des intervenant·es de terrain.

Image par Gerd Altmann de Pixabay

COVID-19 et réduction des risques

Les usager·es de drogues licites et illicites sont particulièrement à risque de contracter le COVID-19 et développer de sévères difficultés respiratoires. Le contexte stressant anxiogène, ainsi que le confinement obligatoire, peuvent également renforcer les risques liés à la consommation de drogues. Cet article propose une série de conseils de réduction des risques en cette période particulière.

Le droit à la santé des usager·es de drogues

La Belgique s’est engagée à appliquer et protéger le droit à la santé. Or le contexte prohibitionniste actuel ne lui permet pas de remplir correctement ses obligations vis-à-vis de la population générale et des usager·es de drogues en particulier, notamment en ne leur permettant pas de bénéficier des progrès scientifiques liés aux substances psychoactives, et en limitant l’accès aux traitements et dispositifs de réduction des risques essentiels à leur santé.